***
Dans le jardin en sommeil,
Elle mourut souvent sans fin ni aversion,
En flammes d'écume, en faune ardente,
Et bravait impudique, la louange sur les lèvres,
Poètes lointains et élus condamnés,
Récitant leurs chimères dans le beau vide d'un déclin
Où les vents s'enchaînaient,
Où les vents s'inclinaient
Devant la grande pierre en ruine,
Tout au fond du jardin en sommeil.